Mio : le saké qui met des bulles dans la tradition

Oubliez le champagne, rangez le prosecco : voilà que le Japon se met à faire pétiller le saké. Mio, signé Takara Shuzo, mastodonte nippon du genre, débarque en Europe avec ses bulles fines, ses 5° d’alcool et ce petit goût de fête qui ne vous laisse pas sur le carreau.

Une version Clear, plus sèche, vient même chatouiller la poire et le raisin. Le tout, distribué par L’Atelier du Saké, la filiale de Foodex qui connaît le marché européen comme sa poche.

Ici, la tradition millénaire se pique d’un twist moderne. Eau, riz, kôji, trois ingrédients de base, et un polissage du grain qui joue les orfèvres, pour un breuvage qui se boit du lever au dessert. Low-alcohol mais haut-plaisir, Mio se sirote pur, sur glace ou en cocktail, en tête-à-tête ou au milieu d’un brouhaha.

À la manœuvre pour guider les curieux : Maryam Masure, sommelière et ambassadrice, qui distille ses conseils en français ou en anglais, en rendez-vous réel ou visio. Parce que le saké, c’est comme une cérémonie du thé : ça se partage, et ça s’apprend.