Il y a les crèmes qui promettent. Et puis il y a celles qui tiennent parole. Le dernier bébé d’Alphascience, Alpha Night PeelL, a débarqué à Paris sous les applaudissements des pros de l’esthétique. Un sérum de nuit, 20% d’AHA botaniques, 92% d’ingrédients naturels. Résultat : en 30 jours, un épiderme lissé, lumineux, débarrassé de ses zones d’ombre.
L’arme secrète ? Une formule exfoliante haute tolérance qui, pendant que vous dormez, déloge les cellules mortes et relance la régénération en profondeur. Matin venu : teint clair, grain régulier, marques d’acné et ridules en sourdine.
Les promesses tiennent en quatre coups de scalpel marketing :
Peau neuve : renouvellement cellulaire accéléré.
Taches en fuite : hyperpigmentation atténuée.
Grain affiné : pores resserrés, ridules gommées.
Hydratation costaude : fini l’effet papier de verre des peelings trop secs.
Tous types de peaux peuvent s’y coller. Mode d’emploi ? Deux à trois soirs par semaine pour commencer, sur peau propre, loin du contour des yeux. Et, le matin, écran total obligatoire.
Derrière, une marque jeune (2016), fondée par Julien Revol et Alfred Marchal, qui aime jouer au chimiste sérieux : trois brevets au compteur, molécules instables domptées, ingrédients rares dénichés, kit esthétique pour post-laser ou peeling. Présente dans plus de 25 pays, vendue en circuits sélectifs, Alphascience se veut l’outsider pointu de la cosmétique pro.
En résumé : un sérum qui bosse pendant que vous rêvez. Et qui vous fait ouvrir les yeux, littéralement, sur un autre visage.
