Illustration Rapporteuses © Dodger
Le cunnilingus est la preuve vivante que le latin n’est pas une langue morte !
Le cunnilingus est la preuve vivante que le latin n’est pas une langue morte dixit Suzanne Dracius professeure de Lettres classiques. Le latin comme le grec sont essentiels à la connaissance et leur enseignement permet de comprendre le monde dans lequel nous vivons.
A gauche caricature anonyme de Napoléon III avec l’actrice Marguerite Bellanger. A droite illustration d’Achille Devéria
Le cunnilingus est donc la preuve vivante que le latin n’est pas une langue morte ! Diantre ! Pourtant quand on parle de cunnilingus, les langues si l’on peut dire sont liées. Nec plus ultra des plaisirs de la femme, qui veut des orgasmes ad vitam aeternam. De facto, difficile de savoir pourquoi cette pratique sexuelle qui remonte à la nuit des temps, est encore auréolée de mystère. Tout un art, le cunnilingus ! Comme le latin qui permet de se familiariser avec de nombreux arts : littérature, peinture, sculpture, architecture, et permet d’approfondir notre réflexion et d’obtenir le « goût » des mots essentiels à la formation de notre esprit critique. Critica facilis, sed ars difficilis est. La critique est aisée, mais l’art est difficile. A contrario, Suzanne Dracius professeure de Lettres classiques, nous livre son modus operandi avec humour : « Cunnilingus et Carpe Diem ». Alea jacta est ! Nous donnons notre langue au chat, le chat de Montmartre bien sûr.
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